Une mise en forme visuelle et problématisée des données amène à une meilleure compréhension de l’information et à en saisir des enseignements cachés.
J’ai pu expérimenter cette méthode de représentation de l’information à travers plusieurs projets notamment : le Dear Data project, une correspondance basée sur une collecte minutieuse des données issues de mes activités, et émotions au quotidien pour en réaliser une représentation manuelle, avec crayons et feutres ; il a été créé par l’information designer italienne Giorgia Lupi. Cet exercice a donné lieu à une expérience introspective très intéressante et enrichissante.
Puis par le Data for a cause challenge un projet de la data analyste Olga Tsubiks, visant à aider des ONG détentrices de données brutes sur des sujets économiques et sociaux à dégager des enseignements à partir de ces données. J’avais participé au challenge « Visualizing Global Peace Trends » rendu possible par les donnés de l’Institut en charge du Global Peace Index .