Dans un projet de social listening, l’analyse quantitative reste bien souvent incontournable. Cela implique de bien s’assurer de la pertinence et de l’exhaustivité de la requête qui sera poussée à l’outil.
Pour autant, modéliser dans une requête toutes les probabilités de combinaisons de termes et d’expressions possibles relatifs à une thématique n’est pas toujours aisé selon les sujets à traiter. On pourra bien sûr toujours compter sur l’aide du client qui reste l’expert de son domaine et qui guidera l’analyste dans la constitution du champ lexical. Cette étape servira de base au travail de recherche réalisé par l’analyste dans un second temps et c’est de cela que ce billet va traiter.
Dans cette seconde étape, l’analyste devra ruser pour notamment parvenir à l’exhaustivité sans dépasser le seuil de mentions autorisés par le projet ou prendre le risque d’être complètement noyé par des retombées non pertinentes. Il aura également à penser à inclure les bons hashtag et les mentions des comptes de la marque ou de l’entreprise concernée (que l’analyste qui n’a JAMAIS oublié puis ajouté in extremis – ou oublié tout court – le fameux # ou @ qui va bien ne vienne pas fanfaronner ici, merci). On en oublie forcément quelques-uns, mais nous sommes d’accord, cela sera toujours la faute de ces hashtag improbables et trop longs qui ne serviront jamais à être partagés (sauf si on s’appelle Heineken).
Et qui dit analyse quantitative dit forcément outil. Aussi, faire un usage optimal des fonctionnalités de paramétrage de l’outil de social listening c’est déjà faire la moitié du travail, car c’est de cette étape que découlera la qualité des résultats. Il m’est arrivé récemment de faire une requête un peu complexe en mixant des opérateurs booléens permis au moment de l’écriture de la requête mais qui après coup auraient rendu l’outil “instable”… Pour faire simple, il n’a pas du tout aimé et a ramené des résultats clairsemés.
Si les outils de collecte et d’analyse social listening sont de super auxiliaires devenus incontournables pour l’analyste, ils ne peuvent (heureusement) pas tout.
Alors au-delà du bon usage des opérateurs booléens et de l’identification des mots clés, comment bien réaliser ses requêtes ? Voici quelques propositions pour optimiser leur création.
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